Cendrillon n’a pas encore ouvert la bouche que la basse retentit déjà, grosse voix de la marâtre qui dispense une raillerie de plus à la jeune fille, elle est sale, laide, incapable et n’ira certainement pas au bal !
C’était sans compter sur les amis farfelus de Cendrillon, une foule d’oiseaux en tout genre qui expédieront la jeune femme dans les bras du Prince.

Le son de l’instrument rebondit sur leurs battements d’ailes et leurs piaillements tour à tour cocasses et graves. En trois temps, trois mouvements le conte devient burlesque, envoutant, onirique et drôle.

Et n’ont qu’à bien se tenir ceux qui le prétendaient ennuyeux et niais.

Sylvain Delcourt, Mélanie Robert et Aurélie Pirrera voix
Julien Sarazin basse

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